ll avait plu, et les arroseurs curieusement, en mécaniques rotatives trop bien réglées, effectuaient leurs allers et retours sans ciller. A la brume cendrée de la matinée figée s’ajoutaient leurs embruns alanguis.
Le moment recueilli passait immobile. Le temps linéaire s’écoulait immuable.
Le temps d’attendre. D’attendre sans projeter. Sans espérer mais confiants. Parce que le temps viendra.
Ce temps qui est le tien.
Quant à moi, je ne suis toujours pas descendu de ce train.